Albert l'Abricot ou le "continuez l'histoire"

Voilà... Émergent d'un fastidieux débat sur les écrits antiques, il en est ressorti la question suivante : "Et pourquoi pas Albert l'Abricot ?"
Vous l'aurez compris, notre héros est devenu en l'espace d'une dizaine de minutes un réjouissant sujet à polémiques.
C'est ainsi que, par la présente, je vous propose de conter les fabuleuses aventures d'Albert l'Abricot.
Je n'imposerai pas de règle. Pas de limite de longueur de message (dans les deux sens) du moment que l'histoire avance.
Pour les unités (cf. cours sur le théâtre antique), je propose une certaine harmonie, sans toutefois sombrer dans la plus odieuse dictature, voire même une anarchie grabataire.

Je présenterai ainsi les deux premiers personnages de cette aventure : Albert l'Abricot et Maëva la Pêche (Sisi avec tous les accents). Leurs liens ne sont pas encore définis.

C'est ainsi que je vous souhaite une production pleine de rebondissement et lance un joyeux "à vous les studios" plein d'espoir.

Franchement si notre idée marche je serai assez fier... Et surtout faudra l'étendre à de vrais grands forums pour une réelle avancée de l'histoire.
(je précise que le but originel est d'obtenir une suite de péripéties digne de l'Iliade... Mais on a prévu 26 sciècles pour en arriver là (ça devrait suffir non?)).
Bon voilà en espérant que ça progresse. Bien sur toute intervention d'un(e) littéraire est fortement encouragée
Allez Geoffroy on y croit...

Allez Geoffroy ! Ca fait depuis longtemps que tu n'as plus rien à perdre... x)

Eh fab je te rappelle que c'est geoffroy et moi qui avons eu l'idée de créer une histoire que les visiteurs du forum arrangeraient à leur guise.
Donc si c'est nous qui continuons l'histoire ça perd tout son sens...
Donc c'est à vous de la continuer cette histoire^^

Ôuais mais faut que vous donniez le début ^^

Bon... Si c'est comme ça, je me lance...

Il était une fois un abricotier qui voulait passer son permis bateau. Fort embêté, celui-ci fut obligé pour réaliser son rêve d'envoyer un émissaire fruité à la recherche de quelqu'un qui pourrait lui apprendre à naviguer (ohé ohé).
Albert, un jeune abricot de la troisième branche à droite fut choisi.
Il était heureux, Albert. Enfin son père-l'arbre lui faisait confiance !
Une longue épopée allait commencer. Albert le sentant, sa sève ne fit qu'un tour lorsqu'il dut enfin partir. Il pris une ample bouffée de dioxyde de carbone (amis scientifiques, appréciez !) et se lança dans le vide, vers l'inconnu !

Bon voilà... Concis (mais pas succinct), efficace (et pas cher...) ! L'histoire est lancée, créez !

La petite histoire pourrait se terminer très facilement, attention aux âmes sensibles (mais ceci n'est qu'une dérivée, et non la vraie histoire j'espère bien^^):
Le jeune aventurier Albert, fraîchement chû de son cher père Albert senior, profita pleinement de sa chute sensationnelle de 2 mètres depuis la troisième branche (laquelle fut infiniment triste de voir son protégé l'abandonner ainsi). Pendant cette seconde merveilleuse, il put ressentir cette joie auparavant inconnue, la liberté de voler! [mais était-ce vraiment une chute libre? sachant que le petit abricot pèse une masse de 200g, et qu'il arrive à une vitesse de 5m.s-1 au niveau du sol, répondez à cette question existentielle] Seulement, quelque chose d'imprévu surgit du vide: la terre, qu'il n'avait pas envisagé jusqu'alors, se tenait menaçante sous lui!! Le pauvre petit Albert, si jeune et si frêle, ne put résister au choc inévitable avec cet obstacle fatal. Il explosa misérablement sur un caillou gris qui n'avait pourtant rien demandé, répandant autour de lui une giclée de pulpe orange tâchant son père meurtri de voir un si brave fruit périr ainsi. Quel brave abricot, cet Albert! Lui qui pensait avoir une vie pleine d'aventures extraordinaires... qui se limitèrent finalement à faire le repas de quelques oiseaux ravis de cette chute impromptue.

Bon oubliez ça, et reprenons du début: ce cher Albert sauta plein d'espoir hors de sa branche...^^

Non non !! ça commence bien ! On n'est pas obligé de retourner au début !
Bon... On a donc :

Le jeune aventurier Albert, fraîchement chû de son cher père Albert senior, profita pleinement de sa chute sensationnelle de 2 mètres depuis la troisième branche (laquelle fut infiniment triste de voir son protégé l'abandonner ainsi). Pendant cette seconde merveilleuse, il put ressentir cette joie auparavant inconnue, la liberté de voler! [mais était-ce vraiment une chute libre? sachant que le petit abricot pèse une masse de 200g, et qu'il arrive à une vitesse de 5m.s-1 au niveau du sol, répondez à cette question existentielle] Seulement, quelque chose d'imprévu surgit du vide: la terre, qu'il n'avait pas envisagé jusqu'alors, se tenait menaçante sous lui!!

Voilà, jusque là ça va !
Mais ça continue !

Soudain (pour l'effet de rebondissement !), il sentit une bourrasque de miasmes noirs l'envelopper comme dans un cocon ; il ralentissait... Son esprit-de-petit-abricot ne comprenait rien, il vit la terre s'éloigner, et s'éloigner encore.
Il voulut crier ! C'était sans compter sur sa nature, un abricot ne crie pas voyons...
Ainsi, volait-il. Son vol était beau, majestueux [bon, on va dire qu'il décrit une trajectoire parabolique régulière. Quelle est son énergie cinétique ?? Mmmh ?].
Mais les belles choses ne durent pas... L'oiseau qui voulait en faire son déjeuner, un merle champion toutes catégories de gobage d'abricot en plein vol, s'entraînait. Celui-ci se posa au sol, relâchant sa prise pour mieux la déguster.
Albert pris son courage à deux mains (oui je sais un abricot ça a pas de main, mais c'est juste une façon de parler.) et s'en fut en roulant ventre à terre. Le merle qui, distrait par la vieille Chantal qui, forte de son âge, se laissait, mûre, choir à son tour, au sol, le poursuivait (Albert) vers le fourré voisin, fauché il y a peu par un brave paysan, dont le labeur n'a d'égal que ses souliers, vira de bord, décrivant une magnifique courbe [nous permettant de déduire son énergie potentielle de pesanteur], et, gobant la maladroite Chantal, maladroitement, s'encastra dans l'arbre, dont toute l'écorce frémissait à cause de cette laborieuse phrase.
Albert était sauvé.

Bon, voilà, on est reparti sur la bonne voie. Essayez de pas trop faire mourir les héros...

Ok comme vous voudrez je le remets alors. Heureusement, je l'avais gardé parce que j'aimais bien l'allusion à Newton, que seul Geoffroy peut comprendre en fait ^^... Gotlib forever ! (mince ça y est vous savez tout maintenant !!).
Albricot (hihi petit surnom complètement naze m'enfin bon) gisait à présent à terre, rassuré par cette première victoire face au danger de la vie sauvage. Cependant, le but premier de son escapade était encore en suspens: comment trouver... euh attendez c'était quoi déjà le point de départ?... ah oui, comment trouver quelqu'un qui puisse apprendre à son père à naviguer (ohé ohé)? [petite digression ^^: apprendre à faire de la voile et non du bateau à moteur ok? c'est plus écolo en plus^^) Albert se souvint soudain de la visite d'un drôle de bonhomme à perruque et costume loufoque sous sa branche qui parlait tout seul de racines carrées et d'algorythmes divers et variés, auxquels petit Albert ne comprenait que peu de choses. Il se souvint aussi que cet étrange personnage fut brusquement réveillé de son agréable sieste par Isaac, l'aîné de troisième branche, le plus gros et le plus mûr de tous les abricots de l'abricotier (tellement gros qu'on aurait pu le confondre avec une pomme! Etonnant n'est-il pas?). En effet, Isaac ne put s'accrocher plus longtemps et se laissa choir sur la tête endormie de cet énergumène sorti du XXVIème siècle. Celui-ci se leva en un sursaut triomphant, et, plein de fierté, laissa échapper une théorie incompréhensible pour l'intelligence limitée (mais en pleine ébullition à présent!) d'Albert, une théorie sur la gravitation universelle, my God quel miracle! Il laissa aussi entendre qu'il allait faire du catamaran pour se détendre un peu après cette réflexion intense (moi je dis vive les anachronismes!!). Et devinez où? Aux Glénan bien sûr, cet archipel breton si cher aux navigateurs! (hum hum... pour ceux qui craindraient l'incontournable crachin breton, ne vous inquiétez pas pour la santé d'Albert qui, en tant que rosbiff, ne sera pas dépaysé...). Seulement comment s'y rendre, sachant qu'Albert était né dans le Lincolnshire (en Angleterre pour les incultes^^) ? A vous les studios!

Merci Laure !
Cette partie de l'histoire est bien !

Gotlib forever !

Ouais le but est que ce soit spontané, que l'on poste ce qui nous passe par la tête alors si tu suprimes ton message après c'est nul.
En plus t'avais passé du temps pour l'écrire celui là.
Aller L'haure repostes nous ce message.

Albert était sauvé.

Mais voila, un nouveau problème se présentait à lui : Il était seul au milieu de nul part. Comment allait-il s'en sortir ? Son pauvre coeur d'abricot se tordit douloureusement. Il roula et roula longtemps, trop longtemps. C'est à ce moment, qu'un bruit étrange lui vint à sa tige... Intrigué, il arrêta son action, épuisée et roula sur lui même pour découvrir d'où venait l'intrus. Il ne vit rien. Craignant de devenir fou après ces dures heures de labeur, il décida de s'accorder une petite pose. Il roula donc vers un tronc d'arbre, à l'ombre. Voyant un peu d'eau qui stagnait dans une flaque, il se réhydrata et s'installa tranquillement.

Il se sentit tomber profondément dans un sommeil profond et réparateur. De nouveau, l'étrange bruit qui l'avait intrigué auparavant se manifesta de nouveau. Il n'ouvrit pas les yeux.

- Pssssssssst !

Aucune réaction. La voix, puisqu'il s'agissait bien de cela se manifesta de nouveau avec plus de bruit encore.

- PPSSST !

Grognant dans son jus, Albert l'Abricot consentis à regarder le malotru. Devant lui se tenait un étrange papillon avec de grandes ailes bleues transparentes où se trouvait au milieu quelque chose qui ressemblait à un corps humain, de grands cheveux bleus l'encadrait- Un papillon qui se met à parler ?-.

* Je deviens fou. *

Le papillon bavardait sans cesse, donnant ainsi à notre pauvre un début de migraine abricotienne. La bestiole voleta autour de lui, s'amusant à toucher sa peau. Albert ne comprenait strictement rien à ce que l'autre lui racontait et en tout honnêteté, il n'en avait cure.

- Qui est-tu ? Ne vois-tu pas que j'étais en train de dormir sale bestiole ! Laisse moi tranquille ! J'ai assez donné aujourd'hui !, s'écria Albert

Aucun effet. L'abricot commençait sérieusement à sentir le jus lui monter au nez. Comment cet importins se permettait-il de le déranger ainsi ? Un affront. Voila ce que c'était.

- Viens vite chez moi ! Viens vite chez moi ! C'est de l'autre côté de ce buisson ! , répéta l'étrange papillon sans s'arrêter.


.

Ok, bien par contre celui qui va devoir continuer va s'amuser^^

lol je crois que je vais faire comme Laure

Jamais flöffy, je t'interdis de faire une telle chose.
Le but est de proposer pleins d'idées (et c'est d'autant mieux si elles sont capillotractées), parce qu'après faudra essayer de mettre en forme un peu les idées et faire une "vraie histoire". Mais pour l'instant toutes les idées sont bonnes à prendre et tant pis si elles ne se suivent pas ou se contredisent un peu, parce que de toute façon faudra mettre en forme plus tard.
Envoyez vos idées.

Bon... ben on va continuer un peu l'histoire, faut que ça avance quand même...

- Viens vite chez moi ! Viens vite chez moi ! C'est de l'autre côté de ce buisson ! , répéta l'étrange papillon sans s'arrêter.

Albert, fort étonné, du haut de ses centimètres d'abricots, avait entendu parler de la méfiance. Albert-le-papa-l'arbre lui avait dit un jour "Surtout, Albert, retiens ceci : La méfiance, c'est comme la tarte aux pommes [...], bref ne parle jamais à un fruit que tu ne connais pas."
Albert alors s'écria : "Ô mystérieuse et douce voix, es-tu un fruit ?"
La voix : "Non mon enfant, je ne suis pas un fruit."
Albert : "Serais-tu une herbe alors ?"
La voix : "Non mon enfant, je ne suis pas une herbe."
Albert : "Je suis sûr que tu es un buisson !"
La voix : "Non mon enfant, je ne suis pas un buisson."
Albert : "Mais qui pourrais-tu être alors ? Un insecte ? Tu es un insecte !!"
La voix : "Non mon enfant, je ne suis pas un insecte."
Albert : "Mais qu'existe-t-il d'autre que les végétaux et les insecte ? Un arbre ? Tu est trop petite pour être un arbre..."
La voix : "En effet mon enfant, je ne suis pas un arbre."
Albert : "Ou alors es-tu une graine ? Un gland ? une noisette ?"
La voix : "Rien de tout cela mon enfant. Ouvre grand tes oreilles ! Mon enfant je suis une fée !"
Albert : "Une fée ? Est-ce un fruit ?"
La voix : "Non mon enfant, une fée n'est pas un fruit, ni une herbe ou même un insecte... Vois-tu une fée est un être magique dont l'existence est vouée au bien. Je suis une bonne fée mon enfant, parle moi sans crainte !"
Albert : "Pourrais-tu arrêter de m'appeler mon enfant alors ? Honnêtement ça me les brise."
La voix : "Bien sûr mon enfant, mais avant, suis moi. J'ai quelque chose à te montrer."

Après ce dialogue d'anthologie (la joie du copier-coller) Albert, rassuré suivit la fée derrière le buisson. Là trônait fièrement une souche creuse dans laquelle un escalier avait été façonné. Ils descendirent Albert suivant de près la fée dont la luminescence éclairait Albert qui se laissait guider par celle-ci qui émanait de la fée qui descendait devant Albert qui, suivant la fée, eu une migraine.

Au bas de la valeureuse descente, Albert découvrit un intérieur chaleureux, 3 pièces salon-2 chambres + sanitaires état neuf + cheminée + ouvertures nombreuses portes-fenêtres-trous faits par un oiseau qui passait par là.

La fée lui dit : "Mon enfant, je connais ton histoire. Je vais t'aider."

Extra (j'espère que c'est pas trop un plagiat qd mm).
Mais bon je te fais confiance pour avoir trouvé ça tout seul^^...

Non non, ce n'est nullement du plagiat ^^...
J'ai écrit ça hier, avant de me coucher.

Et puis François... Même si c'est deux mots, ce serait bien que tu continue un peu l'histoire...

Mais, ou suis-je tombé ? Avec une bande de FOU !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
*part s'étrangler suite à son mauvais choix de sélection de ces amis; sera enterré à Jérusalm; et, réssusitera le troisième jours*

Oula, j'en connais un qui a trop regardé sa bible illustrée...
Sinon j'suis sum d'avoir loupé le 1000ème.

Bon, elle rame l'histoire, là...
Honnêtement, prenez cinq minutes de votre temps, ajoutez deux phrases ça suffit...


Je continue pour l'exemple :

La fée lui dit : "Mon enfant, je connais ton histoire. Je vais t'aider."
Mais avant d'aller plus, loin, tu dois me promettre une chose, je vais donner un biscuit, tu devras le manger seulement lorsque je te le dirais.
Albert pris le biscuit que lui tendait la fée ; il avait l'air délicieux, le biscuit, difficile de résister...
- "Mais quand devrais-je y goûter ?", demanda Albert.

-Quand tu auras répondu à cette question, mon enfant: qui donc est Daisy, la fameuse brebis qui aime l'herbe fraîche et la mode aussi? Par une réponse correcte seulement tu pourras prendre le quart de ce biscuit délicieux.
-Pourquoi le quart? demanda Albert, frustré de ne pouvoir engloutir convenablement ce biscuit délicieux.
-Parce que le reste de ce biscuit délicieux te servira tout au long de ta grande aventure, mon cher petit!
-Bon...si c'est comme ça, je veux bien mener mon enquête, madame la fée! répondit-il, curieux de connaître les propriétés magiques de ce biscuit (apparemment délicieux).

hum...pour éviter des faire de la physique, je continue vaillament la petite histoire (histoire de faire apparaître quelqu'un qu'on avait oublié):
Réfléchissant pendant une bonne minute, Albert finit par se décourager: comment pouvait-il répondre à une question pareille qui n'avait strictement aucun lien avec son histoire d'abricot? Dépité,il comprit que jamais il ne pourrait goûter ce biscuit...sans user de la force! Mais c'était sans compter sa personnalité pure et innocente de jeune abruti ...euh bricot pardon. Mais voilà: il n'en était pas ainsi pour notre chère Maëva la pêche, qui surgit brusquement du néant suivie de sa longue chevelure verte joliment feuillue et fit un strike épatant sur la fée qui ne put réagir à temps et tomba dans les abricots. Pleine d'expérience, elle avait déjà eu affaire à cette perverse de fée qui ne cherchait qu'à corrompre les jeunes fruits avec ses questions peu catholiques. Maëva n'avait donc pas hésité en voyant cette pauvre tarte tomber dans le piège! Ca lui permettrait aussi de reprendre un biscuit, qui lui avait offert bien plus qu'elle n'espérait d'un banal biscuit...

j'ecrirais un truc demain là pas le temps.
mais sans dec faudrait le mettre sur page une fois terminé sa pourrait etre sympa !!

C'est le but romain, c'est le but...
Mais ça sert aussi à bien se marrer alors fais toi plaisir