Albert l'Abricot ou le "continuez l'histoire"

Bon je continuerai pas l'histoire... j'ai pas envie de la jouer solo! même si j'en ai très envie, ce n'est pas le but, et j'aimerais bien connaître les talents de conteur de nos chers membres... Bougez-vous un peu!!

C'est dommage que personne ne continue l'histoire...ou bien j'ai vraiment fait une mauvaise suite, ou bien vous êtes des gros flemmards!! Comment osez-vous laisser Albert tout seul? bon c'est le dernier message que je dis ça...je dois finir par être trop accro^^.

Franchement je me suis décidé à continuer cette histoire il y a deux jours (c'est moi qui l'ai créée, pas tout seul^^, alors je vais pas la laisser mourir comme ça)
Vous en aurez un échantillon à la rentrée (en espérant que ça redonne envie aux autres de recontinuer)
Je ne capitule pas!!!!

Je ne capitule pas non plus, mais là j'ai pas trop d'inspiration... Ça reviendra....

Faut se forcer un peu mon petit dans la vie sinon on arrive à rien...

Maëva et Albert restèrent enfermés à vie sous leur arbre et crevèrent de faim après avoir mangé tous les gâteaux de feu la fée.

C'est petit comme suite ça... Bon si je comprends bien, il faut que je relise tout depuis le début et que je ponde un pavé à la syntaxe incroyablement lourde, rendant ainsi toute lecture impossible.... OK !! (Mais tout à l'heure alors)

Le but, c'est pas flooder hein ? Bon, je m'y met.

"Maëva et Albert restèrent enfermés à vie sous leur arbre et crevèrent de faim après avoir mangé tous les gâteaux de feu la fée."

C'est plutôt dommage comme fin... je vais essayer un truc...

*Poufff*

"Maëva et Albert restèrent enfermés sous leur arbre de vie et, après avoir mangé tous les gâteaux de feu la fée, creusèrent (de faim ?)" (ou, je sais...)

Donc, nos deux protagonistes étaient sortis. Un an après, il était temps ! On essaie donc de replanter le décor. Albert le nabricot doit aller chercher un sage quelque-part plus au Sud qui lui dira comment apprendre à son père l'abricotier à naviguer. Maëva et Albert se retrouvent donc dans la forêt, pas loin de leur point de départ. Voilà. Donc, je peux à présent continuer. Voilà.

A&M (pour faire court) décidèrent (car on reprend la narration au passé, dans ses règles classique, afin de faciliter la compréhension de chacun) donc d'avancer à travers la forêt. Vers le Sud (ils ne savaient pas qui était le Sud, mais ça avait l'air passionnant). Ils roulèrent donc. Longtemps. Toute une journée en fait (c'est long de voyager ! Et puis un abricot, ça ne roule pas vite... Imaginez : environ 6cm de diamètre, à un tour par seconde à peu près en vitesse de croisière... Donc à peu près 600m par heure... Maëva avance plus vite, mais elle s'arrête assez souvent pour attendre A.A. (Pour Mr. Albert Abricot Jr.). Donc voilà pour les détails techniques du voyage).
Le soir, après une longue journée de roulade (et après s'être remis des nausées occasionnées), notre binôme (avec un chapeau) s'arrêta. Ils n'allumèrent pas de feu (vous comprendrez aisément la cruauté qui consisterait à faire griller des branches (végétales) par nos deux fruits. Et en plus ils ont oublié les allumettes. Et puis ça servirait pas à grand chose... un fruit n'a pas froid... il ne mange pas de fruit... ni de viande... (seulement des biscuits)). Ainsi, ils se préparèrent à veiller un peu avant de dormir. Ils n'avaient pas prévu de tour de garde (d'ailleurs ça ne leur aurait servi à rien de construire une tour qui balancerait des flèches enflammées automatiquement lorsqu'un paysan s'approche. Il n'y a pas de paysan dans la forêt.) Ils discutèrent donc. Albert, qui venait de passer la journée avec Maëva (et réciproquement), lui demanda donc ce qui avait bien pu la pousser à le suivre, étant donné qu'elle n'avait rien à voir avec l'abricotier, et que d'ailleurs, un abricotier et un pêcher ne se rencontrent jamais qu'au détour d'un sombre verger, pour régler leurs comptes à la belote. Il était ainsi très peu commun qu'une pêche se décidât (euuuh.... Oui.. euh non... En fait j'en sais rien... je laisse cette conjugaison obscure, qui néanmoins sonne plutôt pas mal) à accompagner un vulgaire abricot (et réciproquement). Celle ci raconta donc on histoire à Albert, qui en fut fort ému (Ici, je ne préciserai pas l'histoire en question. je pense qu'on s'en fout. On a juste besoin de savoir que c'est une bonne raison qui a poussé M à suivre A (Tiens, c'est marrant, c'est dans l'ordre alphabétique !), et que celle-ci ne cherche que de la compagnie.). Ainsi, ayant discuté durant toute la soirée, ils s'endormirent, sereins. Serein... Serin. Serin. Serin ! SERIN !! SERIIIIIIN !!!! Maëva avait crié assez fort pour que toute la forêt en soit ébranlée ! Un cauchemar... (à base de piafs et de pêches... Une vraie boucherie (façon de parler))...
Le lendemain, M'n A se réveillèrent. Ils se débarbouillèrent dans la flaque qui stagnait là depuis la dernière pluie (en même temps, c'est logique...), ne s'habillèrent pas (non pas qu'ils soient exhibitionnistes pour autant), refirent leurs baluchons (encore une fois, façon de parler... Personne ne se trimballe avec un baluchon, c'est trop ridicule... En plus, eux, la seule chose qu'ils ont, c'est leur boussole (trouvée chez la fée... Ben oui, sinon ils peuvent pas aller voir le Sud... Soyons logiques 2 secondes... En plus, en forêt, pour repérer les mouvements du soleil, bonjour !)), et repartirent de bon train, toujours dans le même direction.


Voilà, essayez de continuer un peu, quand même...

J'essaierai de m'y mettre un jour où je ne ferai pas de maths (i.e. pas avant les vacances ).
J'adore ta suite Geoffroy (vive les parenthèses!! (^^ (non mais c'est vrai il n'y a rien de mieux pour dire plein de trucs absurdes (en fait pas si absurdes mais bon une touche d'humour on va dire (humour très intéressant sous plusieurs aspects soit dit en passant (non pas que je ne veuille pas argumenter mon point de vue mais cela me semblerait bien long d'expliquer tout en détail (détail qui vous plairait sûrement d'ailleurs puisque qu'il a un rapport certain avec l'humour dudit conteur d'aventures))))))).(oui je sais, petite joueuse, 7 parenthèses c'est peu...)

Le tout n'est pas de mettre des parenthèses, il faut savoir les remplir intelligemment ! ()

Je continuerai peut-être l'histoire demain.. Ce serait bien qu'il y ait eu un autre épisode entre temps.

Je fais le point, parce que :

1- Je poste jamais rien ici et ça va changer ;
2- je suis mauvais pour compter les histoires, mais mon orthographe douteux et mon imagination peu limitée pourront enfin servir ;
3- Le but de l'histoire est pas vraiment clair, ça risque de décourager les éventuels posteurs.

Donc j'éclaircie le 3. :

-Albert est accompagné de Maëva, on s'est pas trop pourquoi elle le suit mais sa raison est bonne paraît-il.
-Ils mangent des biscuits (c'est tout a priori), ne s'habillent pas, ne font pas de feu, mais se lavent et dorment le plus souvent à la belle étoile (c'est tout pour les besoins primaires connus).
-Ils se déplacent en roulant (sur eux même, et à une vitesse de près de 600m par heure, ce qui correspond pour, disons 8 heures de marche (de roulade plus exactement) par jour, à 5km par jours.).
-Là je veux votre avis : Albert veut aprendre à naviguer à son papa Albert senior (aussi appelé Grand-papa l'abricotier), pour cela, il part à la recherche de Newton qui a l'habitude semble-t-il de faire du cata aux Glénan. La question est donc : Newton et Albert étant natifs du Lincolnshire, pourquoi Albert et Maëva se dirigent-ils toujours plus vers le Sud?, ont ils en tête (si je puis dire) de passer la Manche pour se diriger vers l'archipel breton dans l'espoir d'y retrouver notre cher scientifique, ou quelque autre moniteur(trice^^)? Tant de questions, d'autant plus que l'anachronisme du premier post de L'haure résidait-il dans la présence de Newton dans l'histoire d'Albert se voulant contemporaine de la notre, ou plutôt dans la possibilité de faire du cata aux glénan au XVIIème(l'archipel n'étant qu'un vaste repère de pirates (d'après wiki), cette dernière hypothèse faisant remonter notre histoire à plus de 300 ans jadis. Ainsi la temporalité du récit semble importante à mes yeux pour poursuivre cette épopée naissante (la temporalité reste relative, Albert et Maëva ne semblant guère inquiétés par leur maturité avancée (oui ils sont restés près d'un an dans un arbre et leur périple ne s'arrête pas là)).

Voilà, je compte sur vous pour répondre à ces quelques questions, et vous promets de poursuivre l'aventure de nos chers héros...

Personne ne répond? ... merci

Mais si mais si ne soit pas impatient ^^.

-Maëva accompagne Albert pour apprendre elle aussi à naviguer.
-Il ne part pas à la recherche de Newton. En fait c'est l'abricotier qui avait entendu Newton. La mémoire de l'arbre est transférée automatiquement dans ses fruits, naturellement ^^. Donc oui ils vont aux Glénans chercher un moniteur. Nous sommes au XXIème siècle en fait (oui, l'abricotier est trèèès vieux). Voilà voilà...

Ok merci pour la réponse (les réponses en fait), faudra que je buche pendant mes vacances...

Promis, dès que je rentre chez moi demain, j'écris un bout.

bon je vais tenter de rajouter un bout (pas trop mini) à cette histoire un peu compliquée....

Nos deux amis (j'ai l'impression qu'ils le sont maintenant) reprirent donc leur chemin chargés de leur balluchon (même si je vois pas très bien comment ils peuvent le porter quand ils roulent mais on supposera que c'est possible).
Ils roulaient paisiblement sur les chemins sinueux de la forêt lorsque maëva perçut un son étrange.
-"Tu as entendu" dit-elle effrayée.
-"Non, quoi?" répondit Albert un peu étonné.
Soudain tous deux trésaillirent au son d'un craquement de branche dans les fourrés (orth?) juste à côté d'eux. Puis une voie sur-aigue retentit: "Chipper viens voir! J'ai trouvé ce qu'il nous fallait pour faire notre jelly!". Les deux héros étaint pétrifiés devant l'individu qui s'élevait face à eux telle une falaise. Ils tentèrent de fuir mais leur vitesse était limitée, d'autant plus que le géant à la coupe au bol semblait être accompagné.
-"Look at that it's amazing: it's an APRICOT and a PEACH!". Dit le géant.
-"elle a dit que c'était un abricot et une pêche" dit une sorte de singe qui portait des chaussures rouges ridicules. Le géant rit bêtement puis dit: "c'est pas la peine de traduire Babouche! Tout le monde comprend l'anglais avec moi!".
Pendant ce temps nos deux héros roulaient aussi vite que posible."Attends moi Albert, je suis fatiguée!!". Mais celui-ci continuait de fuir en ne pensant qu'à sa peau!
La voie sur-aigue retentit de nouveau: "attrapons-les j'ai l'impression que ces deux fruits tentent de nous échapper!". Alors soudain une main s'abattit sur Albert puis sur Maëva. Ces derniers tremblaient de peur. Le singe dit alors:"Dora tu ne crois qu'il faut regarder la recette à présent?". Le géant s'esclaffa de nouveau, de manière inexpliquée, puis sortit de son gros sac violet un livre en plastique et commença à lire: "...puis mixer les fruits après les avoir épluchés et dénoyautés...". Maëva et Albert blêmirent, ils réalisaient à présent que leur voyage se terminerait sûrement au fond d'un mixer!


sur ce je vous laisse continuer. Il faut que je me couche.

Bon, bon, bon... Un paradoxe logico-temporel ne va pas nous tuer. Mais des fautes d'orthographe, de conjugaison et de syntaxe, oui. Les vacances, d'accord, mais pas que.

Donc don donc. Bon, on est d'accord, c'est Dora. Donc pour la recette, ça va aller trèèèès lentement (très). Donc les héros de l'histoire vont avoir tout le temps délaborer une super stratégie, d'où la scène suivante : (j'ai mis des couleurs parce-que je me suis rendu compte que c'était assez illisible, et puis comme ça ça colle mieux avec l'ambiance.)

*Dora s'adressant à son jeune téléspectateur (oui, un seul), ne comprenant pas grand chose, mais néanmoins assidu. (Entendons nous bien, dès que celui-ci se rendra compte du réel fond de l'épisode, il zappera.)* <== Ceci est une didascalie.
- (excusez la typographie, j'ai la flemme de rechopper les cadratins de rigueur) "On va faire une 'jelly' (notez le paradoxe mot anglo-saxon simpliste - article indéfini français) ! D'abord, on va trouver la recette dans le livre !"
- *chantant en syncopes gerbantes* "Sacado sacado ! Sacado sacado ! Voici le livre de recettes, Dora !"
- "Merci mon ami !"
*Le livre se met à voler et vient s'écraser à la bonne page contre la caméra, ce qui permet au spectateur (émerveillé par tant de technique) de découvrir un ensemble de quatre (!!) recettes sous la forme de photos simplistes et navrantes (fruits et œufs-farine, au choix de la décoratrice (encore un boulot de femme)), agencées de façon qu'apparaissent deux recettes par page (très réaliste il me semble).*
- *au spectateur* "On va préparer une 'jelly' (on le saura !) ! Tu veux bien m'aider à trouver la recette de la 'jelly' ? (Moi, dans ce cas là je dis grosse conne) Aller, montre moi la recette de la jelly"
*Blanc de 10 secondes. Au bout de ce blanc, un gros pointeur de souris (à la télé ??) bleu fluo s'avance et s'arrête sur une photo comme celle-ci qui entre en surbrillance (!!). On entends alors un bruit caricatural de clic sur un lien.*
- "Bravoo ! Tu as trouvé la recette de la 'jelly' !!"
- *Intervention très utile de babouche* "C'était difficile, moi j'avais pas trouvé !" (en même temps, toi t'es un véritable abruti.)
- "Wonderful ! Maintenant, il nous faut tous les ustensiles qui nous serviront à préparer la 'jelly' ! Tu veux bien m'aide à les trouver ?"

(En principe, à ce moment là, le spectateur s'est endormi ou a zappé.)

*Apparaissent pêle-mêle les images caricaturales suivantes : un saladier, un fouet (de cuisine), un marteau, une raquette de tennis et une brouette. Blanc de dix secondes de rigueur. Contre toute attente, les objets choisis sont le saladier et le fouet...* (Vous remarquerez ici que le mixeur n'apparaît pas, afin de ne pas donner de mauvaises idées aux pitits nenfants.)
-"Ouais !! Tu as réussi ! C'est génial ! Pour te récompenser, on va chanter tous ensemble ! Allez lève-toi et chante avec moi !"
*Dora entame une danse aussi ridicule qu'inexpressive.*
- "C'est gagné ! c'est gagné ! We did it ! C'est gagné !" *Faire durer une bonne minute*
- "Maintenant, on va pouvoir cuisiner les ingrédients qu'on a trouvé tout à l'heure ! La pêche et l'abricot !"
*Dora sort de son sac-à-dos deux grosse pierres, et, incapable de prendre une quelconque décision par rapport à ce changement de programme stupéfiant (si si...), se met à fixer la caméra avec de grands yeux, rapidement imité par babouche, et ce jusqu'à la fin de l'épisode.*

Bon, j'arrête avec les couleurs, ça bousille les yeux.

Vous l'aurez deviné, Maëva et Albert se sont enfuis. Et c'est tant mieux. Si. Finir en gelée, honnêtement ce serait con. Bon. Là ils sont en train de rouler, dans la forêt toujours. (vous l'aurez peut-être oublié, mais la Grande Bretagne est la plus grande forêt d'Europe.)
Donc voilà, une péripétie de plus, un danger évité de plus. Ils sont super forts quand même...

Histoire de ne jamais bloquer l'histoire, je n'entamerai pas de nouvelle péripétie, et donc je n'orienterai pas le prochain récit. Et comme il est tard, je vais au dodo. Si.
Et puis je suis désolé pour le retard de 3 jours, mais vendredi j'ai eu la flemme.

Vous voulez pas écrire une petite suite? Là ça avance pas... (dsl pour les fautes de la dernière fois, celles que j'ai trouvées étaient assez énormes :S j'étais dans une phase d'orthographite aigue ).

Sinon remarque inutile sur ce sujet: j'ai râté mon 50è message, je suis dégoûtée... Pour 52 ya la bataille d'Alésia mais bon... (je me suis dit que pour fêter ça je pouvais faire vivre à A&M cette fabuleuse bataille, mais ça ferait un peu trop de discordances spatio-temporelles, j'aurais trouvé ça drôle mais vous auriez pas apprécié!).

Moi je veux bien, mais je vais quand même pas continuer sur mon propre message...

Si vas y sinon personne va le faire.

Bon, je vous écris peut-être le dernier épisode de ma part, en espérant que ça fera renaître l’inspiration… Si vous êtes d’accord on va un peu faire avancer l’histoire, pour pas qu’ils traversent l’Angleterre pendant 50 épisodes ?
Si ça ne vous va pas vous n’aurez qu’à écrire à partir de l’épisode précédent !

« Donc voilà, une péripétie de plus, un danger évité de plus. Ils sont super forts quand même... »
Nos deux héros roulaient déjà depuis plusieurs semaines et se demandaient quand enfin ils rencontreraient le Sud. Albert trainait derrière en regardant la boussole, un peu perplexe : « tu crois pas qu’en fait cet objet ne fonctionne pas, il ne nous mènera sûrement jamais à Sud ! C’est peut-être cette satanée pluie que nous subissons quasiment depuis le début du voyage qui l’empêche de nous indiquer le chemin à prendre (et oui ils sont en Angleterre, ne l’oublions pas !)» demanda-t-il à Maëva. Celle-ci ne répondit pas… « J’ai l’impression que tu te fiches complètement de ce que je te dis depuis le début du voyage » dit-il en levant la tête. Il la vit alors figée en haut de la côte, comme illuminée. « Eh qu’est-ce que t’as ? ». Elle ne répondit toujours pas. Albert intrigué s’approcha de son amie pour voir ce qu’elle regardait avec tant d’insistance. Il découvrit alors un paysage magnifique, qu’il n’avait jamais vu jusque là. S’étendait à perte de vue un champ de la couleur du ciel et qui, tel un miroir, reflétait à les rayons du soleil qui traversaient les nuages. Au loin, il semblait que cette étendue fusionnait avec le ciel. Devant les cheminées d’une ville crachaient une épaisse fumée grisâtre… « ouah et ben dis donc c’est peut-être ça le Sud », dit Albert à Maëva. « Peut-être bien ». Tous deux dévalèrent la colline en quête de nouvelles avantures!

Bon ça me semble suffisant, je vous laisse écrire la suite, là il faut que je me bouge ! Vive la rentrée!!

Bon on verra ce weekend alors... Les cours ce matin c'était super intéressant (sans ironie).